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Antarctique : Zone polaire du sud, appelée aussi région polaire australe. Continent de 12 millions de kilomètres carrés recouvert d'une énorme calotte de glace : c'est la plus grande réserve d'eau douce du monde. La constellation de la petite ourse "Arktos" domine le pôle nord. Les Grecs ont inventé le mot "Antarktos" pour désigner le continent sud, ainsi sont nés les appellations  "Arctique" et "Antarctique".

Arctique : Zone polaire du Nord, appelée aussi région polaire boréale : Océan glacial  de 14 millions de Kilomètres carrés, ceinturé par la bordure nord glacée et désolée de l'Amérique, de l'Europe et de l'Asie. L'océan Arctique recouvert de quelques mètres de glace salée est le plus grand producteur de glace de mer.

Aurores polaires  : (dites "boréales" au nord, "australes" au sud) : Attirés vers les pôles magnétiques terrestres, des flux de particules solaires (électrons, protons) heurtent les atomes de la haute atmosphère et leur confèrent une partie de leur énergie. En revenant à leur état fondamental, les atomes émettent alors des photons, c'est à dire de la lumière ; d'où l'apparition de lueurs colorées dans le ciel pouvant être observées l'hiver polaire lorsque les pôles sont plongés dans la nuit.

Austral : vient du latin "auster", le vent du Midi.

Bases : "Little America" fut la première base installée en Antarctique, baie des baleines, en 1928 par l'Américian Richard Byrd (voir Survol). Compte non-tenu de la nouvelle station Concordia en cours d'aménagement, actuellement 44 bases scientifiques représentant 17 pays, sont occupées en permanence, dont 8 dans les îles subantarctiques. Un millier de techniciens et de chercheurs y séjourent durant l'hiver austral (sensiblement plus en été).

Banquise : Couche de glace des océans polaires formée par la congélation de l'eau de mer lors que les conditions de température sont inférieures à -1.8°C

Bédière :  Ruisseau creusé dans la glace, à la surface d'un glacier, rassemblant les filets d'eau de fonte. Les bédières peuvent avoir des tailles différentes allant du simple ru à la rivière (avec un flux pouvant atteindre jusqu'à 2 m3/seconde). 

Blizzard : Vent violent conjugué à un froid intense et à une neige poudreuse abondante. Il rend la visibilité pratiquement nulle en enveloppant tout dans un brouillard blanc et givrant rendant très dangereux tout déplacement. Il est souvent accompagné de tempêtes de neige dans le grand nord polaire.

Boréal  : Formé sur "borée", "le nord" utilisé par les Grecs et les Romains.  Chez les Grecs, "boréas" était le vent du nord.

Bourguignon : (Growler en anglais), caractérise les morceaux de glace flottante de toute petite taille (< 5 mètres de long avec une surface de flottaison de <20 mètres carrés).

Cabatique : se dit du vent associé au refroidissement d'une masse d'air au contact du sol. L'air ainsi refroidi, plus dense que les masses environnantes, s'écoule en suivant la pente du relief et accélère avec la distance. Il est fréquent sur les langues et zones glaciaires. Ce vent cabatique peut atteindre la force d'une tempête.  Le mot vient du grec "kata" signifiant "en-dessous".

Cairn : Pyramide de neige ou de pierres, destinée à marquer un lieu.

Calotte glaciaire  : Epaisse couche de glace de forme convexe qui recouvre les terres polaires (voir Inlandsis).

Carotte : Echantillon cylindrique de glace (forme de carotte) extrait du sol par sondage pour en analyser la nature.

Cercles polaires : Les cercles polaires sont parallèles au plan de l'équateur et par conséquent perpendiculaires à l'axe terrestre. Ils marquent la limite du soleil de minuit et sont situés à 66° 33' de latitude nord et sud.

Circonférence de la terre : La terre ne forme pas une sphère parfaite. En raison de la force centrifuge due a sa rotation, elle est légèrement aplatie aux pôles. Son diamètre équatorial est légèrement supérieur à son diamètre polaire :

les distances sont mesurées en degrés, minutes et secondes, et correspondent approximativement à :

Circulation thermohaline : voir THERMOHALINE (circulation)

Concordia : La nouvelle station franco-italienne Concordia est située au Dôme C qui se trouve sur le plateau continental Antarctique distant de 1.100 Kms de la base française Dumont D'urville et de 1.200 Kms de la base italienne Terra Nova Bay. Elle assure une présence permanente, habitable été comme hiver. La vocation de Concordia est de permettre à la communauté scientifique internationale de réaliser des programmes de recherche et d'observations uniques dans de nombreux domaines. Les premières activités scientifiques au dôme C ont débuté en 1978 avec un carottage de 900 mètres. La plus ancienne reconstitution climatique jamais obtenue à partir de carotte glaciaire vient d'être réalisée dans le cadre du projet EPICA. Après un premier forage dans le secteur de la Reine Maud, un second forage a eu lieu au Dôme C et avait pour but de remonter le plus loin possible dans le temps. Le contrat fut largement rempli car les échantillons de glace prélevés ont permis de remonter jusqu'aux 740.000 dernières années. Les résultats de cette mission ont été publiés dans la revue Nature du 10 juin 2004.

Convergence : La convergence antarctique est la zone de séparation située tout autour du continent Antarctique, aux environs de la latitude 60°S, et représente la limite océanographique et la frontière biologique entre les eaux froides peu salées en provenance de l'Antarctique qui se dirigent vers le nord et les eaux plus chaudes et d'une salinité plus importante arrivant des régions plus tempérées.

Cryosphère :Composante gelée de l'eau en surface de la planète, elle inclut les grandes calottes polaires et leurs «shelfs», les petites calottes et les glaciers, la glace de mer, de lac et de rivière, la neige et les sols gelés en permanence ou saisonnièrement. Elle intervient comme barrière et/ou comme réservoir dans les échanges d'eau et d'énergie entre les autres composantes terrestres. La glace de mer isole thermiquement l'océan et l'atmosphère dans la région où elle se développe. Il en est de même pour la neige à l'égard de l'atmosphère et du sol. Dans les deux cas, la cryosphère est un réservoir d'eau accumulé pendant la saison froide et qui affecte, au moment de la fonte, le bilan d'eau douce de l'océan (glace de mer) ou du sol et de l'atmosphère (neige). A des échelles plus longues, les glaciers et calottes de glace jouent également ce rôle de réservoir.

Débâcle : La glace annuelle "banquise" qui se forme au début de l'hiver peut atteindre quelques mètres d'épaisseur. Lorsque la température remonte au début de l'été, la banquise perd peu à peu de son épaisseur et lorsqu'elle redevient sujette aux mouvements de la mer, elle se fragmente en grandes plaques, puis en morceaux de plus en plus petits. Cela se traduit par la "débâcle des glaces".

Densité : La densité de la glace est d'environ 0,9, celle du névé de 0,5 à 0,9, celle de la neige de 0,05/0,55 (selon qu'elle est lourde et collante ou pas). La référence est la densité de l'eau qui est égale à 1. La densité se calcul par la division de la masse d'un corps par celle de l'eau.

Dérive : La banquise permanente, entourée d'une ceinture de glaces fractionnées (le pack), se déplace sous l'effet des vents, des marées et des courants. Lorsque les conditions sont favorables, la dérive peut atteindre une vitesse de 35 kilomètres par jour. Elle ne s'effectue pas en ligne droite, mais en zigzag. Les glaces du pôle nord mettront ainsi 3 ou 4 ans pour dériver du centre où elles se sont formées jusqu'à la périphérie où elle se disloqueront et disparaîtront des les brouillards de l'Atlantique.

Dôme C : voir Concordia

Embâcle : Dans les régions polaires, le début de l'hiver marque l'embâcle ; le froid devenant plus vif, l'océan se couvre d'une croûte de glace qui s'étend sur plusieurs centaines de kilomètre.

Floe : fragment plat de glace de mer, détaché en forme de "radeau".

Growler : (voir Bourguignon)

Hemisphère : Chacune des deux moitiés du globe terrestre, délimitée en son centre par l'équateur.

Hummock : Monticule de glace brisé soulevé par la pression de la banquise

Iceberg : contrairement à la banquise qui est formée de glace de mer, les icebergs  sont constitués de "glace de terre" (glacier terrestre). Lorsque la neige tombe, elle se transforme peu à peu en glace. Cette glace est fluide et s'écoule selon les lignes de plus grande pente, comme le ferait une rivière, mains infiniment plus lentement. Quand elle s'écoule vers les altitudes plus basses entre des chaînes de montagnes, elle forme  des glaciers, c'est à dire des "rivières de glace". Si ces glaciers débouchent sur la mer, le front qui s'en détache ­du fait de son propre poids­ forme les icebergs. Il y a de très nombreux icebergs dans l'Arctique, surtout dans la région de Disko au Groenland ; mais les plus grands prennent naissance dans l'Antarctique. 

Iceberg (flottaison) : Comme la densité de la glace d'eau pure est d'environ 920 kg/m³ et que celle de l'eau saline de mer avoisine 1 025 kg/m³, environ 90 % du volume d'un iceberg est généralement situé sous la surface de l'eau, et il est difficile de déterminer la forme qu'adopte cette partie à partir de celle qui flotte au-dessus de la mer.

Ices-shelfs : Plates-formes immenses de glace flottante sur mer arrachées au continent antarctique (donc, d'eau douce).  Leur alimentation se fait par la surface -qui est zone d'accumulation- et à partir de courants de glace venus de l'intérieur du continent. L'ablation se fait par vêlage de grands icebergs tabulaires à partir de la falaise de glace qui le termine du coté de l'océan, et par fonte de la partie inférieure au contact de l'eau de mer. Les ice-shelfs se développent essentiellement dans des baies permettant aux courants de glace continentale de converger. Le plus vaste, est grand comme la France : c'est la barrière de Ross en Antarctique.

Igloo : Petites constructions en forme de dôme, utilisées comme abris temporaires par les Inuits. Ils sont faits de blocs de neige tassée, posés les uns sur les autres en rangées concentriques jusqu'à former la coupole. La porte se creuse en dernier, du côté opposé au vent. Du fait des excellentes propriétés isolantes de la neige, l'intérieur des igloos est relativement confortable.

Inlandsis : Mot danois signifiant "glace de l'intérieur des terres". A l'origine, ce terme désignait non seulement les glaces du Groenland, mais aussi les champs de glace plus modestes de l'Islande. Aujourd'hui, il désigne les très vastes nappes de glace (de plus de 50.000 Km²) couvrant en grande partie ou totalement un continent. Actuellement, il en existe deux : l'Antarctique et le Groenland. Pendant les âges glaciaires du quaternaire, des indlandsis recouvraient également le nord de l'Europe, de l'Asie et de l'Amérique du nord. (voir calotte glaciaire).

Magnétisme : La terre peut être comparée à un énorme aimant, car elle crée autour d'elle un champ magnétique. A l'instar de la force invisible qui s'exerce entre certains métaux, le magnétisme terrestre est produit par l'électricité que dégage le noyau de notre planète. 

Minute : Unité de mesure d'angle égale à la soixantième d'un degré. Les latitudes et les longitudes sont mesurées en degrés et en minutes. Un angle d'une minute sur un méridien terrestre correspond à une distance d'un mille marin (1952 mètres).

Moraine : Amas de débris de roches de toutes tailles transportés par l'avance d'un glacier.

Moulin : Puit dans la langue d'ablation glaciaire, creusé par l'érosion de l'eau des bédières  etqui s'engouffre dans une crevasse. 

Naissance : la base Argentine Esperenza de Hope Bay en mer de Weddell (Antarctique) abrite une soixantaine de personnes (dont la moitié de militaires). La première naissance en Antarctique a eu lieu à cette base le 7 janvier 1978 : Emilio Marco de Palma. Depuis, plusieurs enfants y sont nés, et dans la théorie du "droit de la terre" des familles de militaires, deux instituteurs, un médecin et quelques scientifiques habitent à l'année où classes, internet et bonne volonté permettent aux enfants en hivernage de suivre une scolarité presque normale.

Névé : Neige transformée en glace imperméable par densification, au cours du temps. 

Pack : Dans les régions polaires, ensemble des glaces flottantes arrachées à la banquise par les courants marins et les vents.

Pancake : Morceaux de glace de forme circulaire, aux bords relevés du fait de leur frottement les uns contre les autres. Ils apparaissent lors du refroidissement des températures et se soudent  entre eux au fur et à mesure de la descente du mercure, créant ainsi la banquise.

Parhélie - Paranthélie : Phénomène optique atmosphérique dû à la réflexion de la lumière solaire sur les petits cristaux de glace suspendus dans l'atmosphère et qui déforment les rayons du soleil en créant une sorte de halo très lumineux. 

Permafrost (ou Pergélisol) : Dans les régions arctiques, zones où le sol est gelé en permanence sur une grande profondeur (450 mètres au Svalbard/Spitzberg par exemple). Ces zones de permafrost occuperaient environ 10 millions de Km2, dont 2 millions seraient déjà affectés par le réchauffement climatique.

Pôle nord magnétique : Depuis sa découverte par James Clark Ross en 1831, le pôle Nord magnétique s'est déplacé de plus de 1126 kilomètres à raison d'environ 40 kms par an. Au moment de sa découverte, le pôle Nord magnétique se trouvait à l'extrême nord Canadien. Aujourd'hui, il s'est déplacé vers la Russie et provoque des aurores boréales plus fréquentes.

Pôles géographiques : Extrémités de l'axe de rotation de la terre.

Pôles magnétiques : Tout comme un aimant, les pôles magnétiques ont un pôle nord magnétique et un pôle sud magnétique. Le champ magnétique de la terre est orienté Sud-Nord. C'est à cause de cette force que l'aiguille d'une boussole se dirige vers le pôle nord magnétique. Il ne faut toutefois pas confondre les pôles magnétiques et géographiques, car ils sont en effet situés à plusieurs centaines de kilomètres les uns des autres (cela est vrai pour le nord et pour le sud). A noter que les pôles magnétiques se déplacent d'environ 8 kilomètres par an.

Polinya : Chenaux d'eau séparant les plates-formes flottantes de glace lors de formation de la banquise.

Phytoplancton : Plancton végétal composé d'organismes vivants de petite taille, voire unicellulaires. Il joue un rôle essentiel dans les réseaux aquatiques et dans les cycles des éléments chimiques (carbone, oxygène) et toute la biosphère.

Régions polaires : L'océan arctique qui est délimité par l'Amérique du nord et l'Eurasie septentrionale a une superficie de 14 millions de Kms carrés. Le continent antarctique a une superficie de 12 millions de kilomètres carrés.

Réchauffement climatique : L'effet du réchauffement climatique est extrêmement sensible au pole nord. Les spécialistes font état d'une réduction de la banquise arctique de 8% (soit - 988.000 Km2) durant les 30 dernières années. Toutefois, au sud, durant la période des dix années 1979/1988, la banquise s'est légèrement accrue de 110.000 Km2. Ce réchauffement climatique pose problème de nombreux et sérieux problèmes pour la vie -voire survie- des animaux polaires.

Ressentie (température) : L'effet des vents cabatiques très violents et des particules de neige et glace qu'ils entraînent avec eux, rend un ressenti de température souvent beaucoup plus froid que la simple mesure du mercure. Aussi, en région polaire, pour tenir compte du facteur éolien (effet windchill), il convient de parler de "température ressentie" et non de "température réelle". Un calculateur réalisé par Xavier Jubier permet d'en faire aisément le calcul (clic ici pour accès au calculateur).

Scorbut : Maladie provoquée par un régime alimentaire trop pauvre en vitamine C. Les marins atteints du scorbut ont les dents qui pourrissent et les membres douloureux. Les premiers navigateurs s'efforçaient de combattre la maladie en buvant du jus de citron vert.

Survol : Premier survol du pôle nord le 9 mai 1926 par l'amiral américain Richard Byrd. Deux jours plus tard, c'est le dirigeable d'Amundsen piloté par l'ingénieur Italien Umberto Nobile qui survola la mer Arctique en passant par le pôle nord. C'est à nouveau Richard Byrd qui le 28 novembre 1929 survola le premier le pôle sud.

Tabulaire : En Antarctique, icebergs de forme plate, avec une longueur supérieure à 5 fois sa hauteur. Ces véritables "îles flottantes" se détachent des vastes plates-formes (Ice-shelfs) alimentées par les glaciers de l'inlandsis.

Thermohaline (circulation) : La circulation thermohaline est une sorte de "tapis roulant" des eaux chaudes et froides des océans. Il s'agit d'une circulation permanente à grande échelle de l'eau des océans, engendrée par des écarts de salinité et de température des massses d'eau. Ces deux éléments ont un impact sur la densité d'eau de mer : Les eaux refroidies et salées plongent au niveau des hautes latitudes (Groenland etc..) et descendent vers le sud à des profondeurs de deux ou trois kilomètres. Elle sont alors réchauffées sous les tropiques et remontent à la surface, où elle se refroidissent à nouveau, et bis répétita. On estime qu'une molécule d'eau fait le circuit entier en 1000 (mille) années environ.

Toundra : Végétation non arborée des régions arctiques, composée de mousses et de lichens. L'hiver le sol est gelé en profondeur. 

Vêlage : Forme d'ablation par détachement de blocs de glace de tailles variables, d'un front glaciaire. Un glacier suspendu (Montagne/Altitude) peut ainsi produire une avalanche, tandis qu'un glacier qui se termine dans l'eau (lac ou mer) produit des icebergs.

Vent cabatique : voir cabatique

Volcans : Aujourd'hui la plupart des volcans sont éteints dans les régions polaires ; il en reste cependant quelques-uns : En Arctique l'île volcanique Mayen (entre le Groenland et l'extrême nord de la Norvège) et en Antarctique le Mont Erébus (Île de Ross) et le Volcan Déception (Péninsule).  Ce dernier volcan a eu plusieurs éruptions au cours du 20e siècle, au point d'obliger les bases scientifiques chilienne, argentine et anglaise à évacuer son personnel en catastrophe, et à déménager !

Voyages : en Arctique ou en Antarctique. Oui, cela est possible avec un spécialiste français : www.gngl.com

White-out : Mot anglais qui désigne le brouillard glacé polaire qui se forme avec une rapidité fulgurante lorsque les conditions d'humidité atmosphérique lui sont favorables. Dans certains cas extrêmes, le phénomène peut réduire la visibilité à moins d'un mètre et il devient impossible de distinguer l'horizon ou tout autre repère de relief ; cette situation critique rend extrêmement dangereuse l'imprudent qui s'aventure loin de sa base ou de sa tente.

Windchill (effet) : L'effet des vents cabatiques très violents et des particules de neige et glace qu'ils entraînent avec eux, amène un ressenti de température souvent beaucoup plus froid que la simple mesure du mercure. Aussi, en région polaire, pour tenir compte du facteur éolien (effet windchill), il convient de parler de "température ressentie" et non de "température réelle". Un calculateur réalisé par Xavier Jubier permet d'en faire aisément le calcul (clic ici pour accès au calculateur).

Zooplancton  : Désigne l'ensemble des micro-organismes vivant dans les eaux, cela intègre notamment le krill -composé de micro-crustacés- vivant en concentration élevée dans les mers froides.

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